lundi 11 juin 2018

Jour 27 : Fin de l'Allemagne, bonjour l'Autriche

C'est grâce à l'hospitalité et la gentillesse de Joseph que l'on repart bien reposé.


Bonne avancée le long du Danube jusqu'à la ville de Passau.


On quitte l'itinéraire 6 pour aller en direction de Salzbourg rejoindre un ami. On suit la rivière Inn pour arriver dans une ville où on décide de prendre un train.



Une bien belle erreur car la correspondance nous laisse dans la ville de Wells où les trains ne reprennent que le lendemain. C'est donc une nuit blanche que l'on passe en attendant le premier train.

Jour 26 : Une bonne avancée

Départ le matin après une bonne omelette et une salade kiwi made in Netto pour bien démarrer la journée. Première vue de champs de houblon, plante sacrée au pays de la bière. 



Des découvertes atypiques le long du Danube comme ce temple. 



Arrivée à Regensburg après mangé pour une visite de la ville et un peu de musique. 




On y a même l'impression de s'y sentir à la maison. 



On continue le long du Danube où l'on peut voir un autre temple, ici la reproduction du Parthénon d'Athènes. 




Passage rapide par la ville de Straubing, ville aux nombreux clochers. 





On trouve un lieu juste avant la nuit. Un résident vient nous parler, on lui offre un petit concert privé, il nous offre des bières. Puis vient sa femme qui nous propose l'hébergement pour la nuit ainsi que le café le lendemain.

Jour 25 : Pas si plat que ça la Bavière

Lancé pour du plat, on a vite déchanté face aux collines qu'offre l'itinéraire, à croire que la Bavière n'est pas si plate que ça. On a continué jusqu'à la ville d'Ingelstat pour faire une bonne pause. Une dame nous offre des gateaux et des cafés ce qui nous relance bien. Les paysages de la vallée sont assez similaires avec une culture de la betterave prédominante.


Différentes traversées du Danube nous montre sa croissance depuis Tuttligen.



La culture allemande nous surprendra aussi avec ses nombreux distributeurs posés un peu partout où on peut trouver des cigarettes, chambres à air, patates et lait.




Son bord nous offre aussi des belles cheminées.


On décide de se poser pour le soir quant on passe devant un Netto où on récupère moult fruits et légumes pour ce faire un festin le soir même.

Jour 24 : Les 120 km !

Avec quasiment que du plat, on est arrivé à Ulm dans la matinée. Cela nous a permit de profiter de la ville et de faire un peu de musique.



La suite se fait dans des petits vilalges dans la vallée du Danube avec de nombreux lacs et une belle forêt. La méthanisation est aussi bien présente dans quasiment chaque ferme.


Le bivouac c'est fait le long d'un sentier sportif au bord de l'eau qui a permit aussi une petite douche.

Jour 23 : Merci Danube

Le départ continue dans les gorges pour arrivés sur Sigmaringen vers 12h00 où nous jouons de la musique. 


La poursuite se fait encore le long du Danube où le paysage devient un peu moins vallonnée. 


Le long de la route on peut voir des champs d'une autre culture mais assez présente aussi.


D'autres curiosités font aussi leurs apparitions le long de l'itinéraire.



Le bivouac est posé non loin d'Algershofen pour un bon repos.

Jour 22 : Objectif Danube

Départ avec Pierre et Gaïa jusqu'à Bondal. Le trajet se fait par des chemins de randonnées qui nous ont bien fait suer mais nous on permis d'admirer des paysages sublimes. 



On se quitte à Bondal où nous prenons la route de Tuttligen pour rattraper l'itinéraire perdu Quelques galères (chute, déraillements) mais on rattrape le Danuble après une bonne descente. 



Enfin du plat, ce qui nous permet de tracer un peu et de nous rapprocher de Sirmingen. Le Danube fait des méandres dans gorges. Le bivouac est posé au bord du fleuve.




Jour 21 : Lac de Constance, l'interminable

On reprend la route jusqu'à Radofzell où l'on prend une petite pause et le temps de faire un peu de musique dans la rue. On s'est un peu perdu sur l'itinéraire où l'on a pris la direction de Constance. Celà nous permet quand même d'admirer le paysage et des nuages insolites.



Passage par Maineau par un chemin escarpé qui a eu raison du roulement de la remorque de CJ. Mais la providence nous a amené Pierre, voyageur à vélo, et sa chienne Gaïa qui par bonheur avait des roulements de rechange ce qui nous a permis de continuer la route avec eux. Le bivouac est monté dans la forêt au dessus du lac.